- Kader A. Abderrahim
- Gilbert Abergel
- Eric Badonnel
- Alain Bauer
- Philippe Benhamou
- Georges Bertin
- Eric Boeuf
- Céline Bryon-Portet
- François Cavaignac
- Jack Chollet
- Didier Convard
- Jean-Claude Couturier
- Lionel Davoust
- Laurent Dehaffreingue
- Didier Desor
- Toussaint Coffi Djeguedé
- Dominique Douay
- Samba Fall
- Yonnel Ghernaouti
- Eric Giacometti
- Jöel Gregogna
- Lauric Guillaud
- Christophe Habas
- Dominique Jardin
- Jean-Philippe Jaworski
- Joseph Jos
- Gérald Krebs
- Laurent Kupferman
- Alain-Jacques Lacot
- Gilles Laporte
- Hélène Larbaigt
- David Le Breton
- Raphaël Liogier
- Henri Loevenbruck
- Michel Maffesoli
- Jean-Luc Marcastel
- Anne-Laure Marioton
- Xavier Mauméjean
- Jean-Luc Maxence
- Pierre Mollier
- Frédéric Morello
- Manuel Picaud
- Emmanuel Pierrat
- Stefan Platteau
- Jacques Ravenne
- Thierry Receveur
- Richard Rognet
- SaT
- Anne-Claire Scébalt
- Idries Shams
- Pierre François Souyri
- Annie Tremsal
- Jean-Michel Truong
- Laurence Vanin
- Claude Vautrin
- Jacques Viallebesset
- Frédéric Vincent
Georges Bertin s’est éteint le 2 février 2022, à l’âge de 73 ans.
Georges Bertin est Docteur HDR en sciences sociales, retraité du CNAM des Pays de la Loire, président fondateur de Cercle d’études nouvelles d’anthropologie, Georges Bertin est membre de plusieurs sociétés savantes et d’études initiatiques. Essayiste conférencier, il a dirigé durant 10 ans la revue internationale Esprit Critique.
Ses derniers ouvrages parus : “De la loge aux réseaux, la franc-maçonnerie au défi des temps”, Cosmogone éditions, 2019. “Un imaginaire transculturel”, Cosmogone, 2018. “Entre caverne et lumière”, essai sur l’imaginaire en loge de francs-maçons, Cosmogone, 2017, prix Cadet Roussel. “De quête du Graal en Avalon”, préface de Fatima Gutierrez, Cosmogone, 2016.
Conférence :
2016 – « Graal et Chevaliers de la Table Ronde »
2016 – « Gestuelle à Compostelle »
2017 – « Entre caverne et lumière »
2018 – « Chamans et sorcières : croyances incorporations »
2018 – « Fées et féeries »
2019 – « L’Humanisme face au mal absolu »